À la recherche d'Aëydil

Alors, c'est ici que commence l'aventure!

Les participants sont (en ordre pour l'histoire) :
1. Eberen
2. Sowen
3. Belo
4. Nymphélia

L'histoire débutera dans la forêt, avec Eberen et Sowen. Rendu en ville, nous recruterons Belo et Nymphélia pour la recherche d'Aëydil.

Nympélia, toi qui n'as pas suivi l'histoire, tu peux aller regarder dans les histoires communes "Dans la forêt".

À vos plumes...partez! (N'oubliez pas l'ordre pour les posts!)

Eberen et Sowen se dirigeaient d’un pas pressé vers la taverne de Perenia. Le druide sentait qu’il devait en parler aux autres, et de tenter d’en savoir plus sur Aëydil, sur ce qu’il lui était arrivé. Il ne savait qu’une chose, c’est qu’Aëydil n’était sûrement pas en position de force, avec la façon dont il les avait quitté, c’est-à-dire engouffré par le sol de terre, dans un cri de douleur insupportable. Sowen, elle, marchait à ses cotés, l’air piteux de celle qui n’avait pas compris ce qui s’était passé. Malgré cela, elle suivait Eberen avec la même allure, la même détermination.
Lorsque Eberen arriva finalement à l’entré de la Métropole perenienne, il se dirigea immédiatement à la taverne, cherchant ses amis et d’autre aventuriers.
Le druide ouvrit la porte de l’endroit avec force et réclama l’attention de tout le monde présent dans l’auberge : Belo, Henk, Moretos, Nydaenna, Onurb, Terakin et Nymphélia.

- « Mes amis! Un compagnon d’arme est, suite à une conversation, mystérieusement disparu, avaler par la sol. Aëydil n’est connu que par peu d’entre vous, mais c’est quelqu’un qui mérite sûrement que nous nous arrangions pour le retrouver, ou simplement de quoi en retourne sa disparition. J’ai besoin que deux d’entre vous vienne avec moi et Sowen à sa recherche..»

Belo, entendant le nom de son ami Aëydil, fut le premier à ce lever, et déclaré :

- « Aëydil disparu?...Je vous suivrais! Cela m’intrigue beaucoup trop pour que je reste ici, à me tourner les pouces!
- Merci Belo, déclara Sowen, quelqu’un d’autre? »

L’assemblée resta silencieuse, mais pas longtemps.

- « J’irais! fit Nymphélia rompant le silence, je ne crois pas qu’une fille sera de trop! »

Eberen, content de cette spontanéité, promis aux autres dans la salle de leur faire parvenir quelquefois des informations de où ils en seraient dans leur aventure. Eberen se retourna vers les volontaires et leur dit :

- « Nous partons ce soir, au crépuscule, dans le noir de la nuit. Nous y serons mieux pour ne pas trop attirer l’attention. J’aimerais que vous oyez tous près, à l’avant de la taverne à l’heure ou le soleil ne sera que moitié dans le ciel.»

(À toi Sowen)

La nuit était enfin tomber, sur la petite ville Pererienne. Les autres compagnons, ayant, finalement conclu que la recontre devant la taverne n'était pas tres subtile, se rejoignèrent devant la vieille tour abandonnée. Il se recontrèrent donc, uns après les autres, silencieusement. Bien équipés, près à partir dans une aventure qu’ils n’oublieront probablement tous jamais. Nos quatre compagnons entamèrent leur longue route vers…

- Où est-ce qu’on va ??

Sowen s’était arrêter et regardais intrigué les trois autres qui s’étaient rapidement retourné vers elle. La prêtresse haussa les épaules et s’adresse à Belo :

- Hé… me regarde pas comme ça le moustachu qui a perdu sa moustache… J’ai bien beau avoir décidé, avec Eberen, qu’on allait à la recherche d’Aëydil, mais ce ne veut tout de même pas dire que je détient la vérité et que je sais ou ce cher ami, plutôt étrange, a disparu.

- Cela m’apparaît bien embêtant en effet, lança Belo en essayant d’attraper sa moustache, maintenant absente.

Il silence s’installa alors entre les quatre voyageurs, l’idée d’allez aider un ami était bien sur très séduisante, allez se battre pour sauvé quelque, faire un acte héroïque, se mettre en danger pour ressentir toute l’adrénaline que cela nous apporte. Ce fut Nymphélia qui rompit ce silence, s’adressant à Eberen :

- Pourquoi… pourquoi ne pas simplement commencer à allez voir ou la terre l’a englouti exactement ?

- C’est… c’est justement ce que j’allais dire, s’exclama alors Sowen, piquée qu’elle n’est pas eu l’idée elle-même.

Eberen Hocha la tête :

- Très bien oui, cela me semble très logique… en fait j’avais supposer m’y rendre en votre compagnie pour ensuite constituer un plan pour le reste de notre chemin. Prêt ?

- Plus que jamais ! s’exclama Belo

- À cent pour cent, ajouta Sowen

Pour sa part, Nymphélia hocha lentement la tête en signe d’appui à leur idée. Commencer une quête sans point de départ n’aurait pas fait une aventure bien bien longue.

( À toi belo )

Le soleil était maintenant en route pour laisser la place à la lune.
La troupe marchait à la queue-leu-leu en direction de leur première destination. L'équipe élite de Perenia était menée par Eberen Le Brave, qui dirigeait les opérations de cette aventure. Derrière lui, se tenait Nymphélia La Voyante, qui épaulait Eberen dans cette abracadabrante histoire. Puis, trainait derrière Sowen La Curieuse, qui suivait de peine et de misère les deux premiers. Finalement, Belo le Furtif fermait la ligne d'un pas assuré.

Cet incident avait boulversé Belo. Aëydil était un de ses plus grands confidents. Il l'aimait comme un frère. Sa disparition l'avait inquièté et il était prêt à tout pour secourir cet être, si bon.

Sowen se frottait douloureusement la paume des pieds. Celle-ci gémit et annonça: « Pourquoi ai-je dont mis ces souliers tout crasseux et non mes mocassins?

-Peut-être parce que tu as une cacahuète au lieu du cerveau, lui dit Belo en ricannant timidement.

- Espèce de gnome mal rasé! Surveille tes paroles où je vais te les faire avaler mes souliers! Lui cria Sowen, frustrée de cette attaque.

-Les enfants calmez-vous, dit Nymphélia d'une voix brume et discrète, la route est longue et je ne veux pas entendre vos engeulades dans mes oreilles. Ça brise ma concentration.

- Pas ma faute si elle n'a pas le sens de l'humour...dit Belo, timide.

-Aller tout le monde, annonca Eberen, nous sommes pratiquemment arrivés.»

Alors, les quatres compagnons marchèrent plus de une heure en endurant les injures des deux derniers spécimens de la ligne. Lorsque Eberen leur dit qu'une petite pause serait nécessaire.

« Je vais faire des choses personnelles je reviens, annonca Belo.

-Ne va pas trop loin, l'avertit Eberen, il ne faudrait pas que tu t'égares.»

Belo lui fit un clin d'oeil confiant et avança plus loin dans la forêt.
Puis, trente secondes après, ils entendirent:

«Aaaaaaaah!»

C'était Belo.

Eberen bondit avec son loup en direction du gnome, paniqué. Ce qu'il vit le pétrifia sur place: Belo était accroché à une racine qui tombait à première vue dans un trou. Ce trou était gargantuesque, et c'était exactement l'emplacement de la disparition d' Aëydil. Eberen tira facilement Belo du trou. Celui-ci haletait et avait eu une peur bleue.

« C'est ici que Aëydil a disparu... dit Eberen, d'une voix hésitante.

- Il est disparu dans ce trou? Se questionna Nymphélia.

- Non, ce trou n'y était pas.

-Alors d'où vient-il? cria Sowen, sur un ton agressant.

- Aucune idée, dit Eberen.»

Il eut un moment de silence. Personne n'osait prendre la parole. Jusqu'à ce que Belo intervint:

« Que fait-on, maintenant?

Eberen réfléchit longuement sur le «comment» et le «pourquoi» et finit par répondre:

« On saute.

-Quoi? s'énerva Nymphélia, tu ne veux quand même qu'on saute dans le néant?

-Pourquoi pas? Ce trou n'est pas apparu pour rien, c'est surement la premier niveau pour trouver Aëydil. Je ne sais pas, mon instint me force à sauter.

-Eberen, dit doucement Sowen redevenue calme, réfléchit bien, sauter pourrait être du suicide, tu ne sais pas ce qu'il y en bas.

-C'est pour ça qu'on doit sauter, pour découvrir!»

Sowen prit la main d'Eberen. Celle-ci était plutôt moitte, sous l'effet du stress. Elle entreprit une discussion avec Eberen, puis Nymphélia s'en mêlit. Les trois maintenant s'obstinait sur la décision à prendre lorsque un geulement coupa subitement leur folle conversation. Un petit bonhomne courait vers le trou en criant :
« Aëydil, j'arrive!»

Sur ce, Belo se projeta au centre de la terre.

«Non!» cria Sowen qui sauta pour essayer de bloquer son ami. Mais elle tomba dans le trou, accroché à la petite jambe de son compagnon.

Deux des quatre s'étaient maintenant volatilisés dans les abîmes de notre Terre.

Nymphélia pleurait. Elle prit une grande respiration, ferma les yeux et se laissa tomber dans le trou, à la suite des deux autres fous.

Eberen observait la scène, ahuri. Lui aussi, avait les larmes aux yeux. Tout c'était passé si vite! Belo, puis Sowen et finalement Nymphélia. Tous ses fidèles s'étaient courageusement lancé dans le danger, et c'était sa faute!

Le chef s'approcha de Trait d'Argent et lui murmura à l'oreille:

«Si dans trois jours nous ne sommes pas revenus, prévient les autres...»

Eberen s'approcha du gouffre. Des sueurs froides ruisselaient sur son front. Il regarda loin devant lui, à travers arbres et buissons, et dit très clairement :
« Aëydil, où que tu sois, prépares toi, j'arrive...

Non....

Nous arrivons.»

Eberen plongea.

» Concours #1: Dialogue