Korak le tout petit [série humoristique]

Premier texte d'une assez longue série à caractère humoristique, ce texte présente le personage principale, décalage garanti, si vous voulez la suite, dites-le.
A l'origine, je comptais le présenter de la manière suivante:

Les aventures de Korak le tout petit

Ce personnage d’un mètre moins vingt <BAF> pardon, moins dix-neuf, ne vous fera aucune mal.
KORAK ! LACHE TA HACHE ET RENDS MOI MA MAIN !!!





Nom : Korak Race : Nain Age : 34 ans Profession : Héros

Korak est un jeune nain qui vient d’ailleurs, d’un autre monde. Personne ne sait où il est née, mais on sait qu’il a été élevé par des trolls, ce qui le rend plus brutal, agressif et bête que la moyenne des nains (pas très élevé par elle-même à la base).
Dans son enfance, il apprit d’un troll les joie de l’art du changement de forme, et il a toujours été surpris par le spectacle d’un troll de 4 mètre de haut se transformant en abeille d’un ou deux centimètre, ainsi que par le poids du même troll lorsqu’il rate la transformation inverse.
Dans son adolescence, il se battait avec des trolls deux fois plus jeune que lui, et deux fois plus grand aussi, avec lesquels il faisait des concours. Dans les concours habituelles des trolls (lancer de vaches; saute-montagne…), il perdait toujours, mais lorsqu’il institua certaines épreuve bien à lui, il les gagnait à chaque fois, il faut dire qu’un troll, même allongé, est plus grand que lui, et à bien des difficultés à passer sous un fil tendu sans le faire bouger.
Ce sont les trolls qui lui ont trouvé son nom, mais Korak en ignore toujours la signification, ce qui vaut mieux pour tout le monde, Korak voulant dire ’’tout-petit’’ et celui-ci est très susceptible à ce sujet. Malgré tout, on sait le bien fondé du nom, un troll de quelques seconde mesurant déjà plus d’un mètre vingt.

Oh! Cela m'as l'air bien amusant! Oui, j'aimerais bine une suite!

j'attend un ou deux autres avis (et puis faut que je me remmette à les taper, sur les 38 pages A5, seuls 10 sont tapés

Bon aller première suite:


Korak est arrivé dans ce monde depuis quelques jour à peine, mais il a déjà pu se faire remarquer : il a pris une chambre dans une taverne, puis il a essayé de payer avec des pièce inconnu. Après cela, mieux aurait valu se faire discret, mais notre nain préféra prendre un repas, le manger, insulter le serveur sur la qualité de la viande, continuer en lui jetant son dessert et sa bière en pleine figure avant de partir. Il est inutile de préciser qu’il n’a pas payé son repas.
Un avis de recherche à été lancé :

« Recherche nain plus petit que la moyenne, age 35 ans environ. Il est armé et dangereux, de plus, il est énervé. »


Sur quelques affiches on peut lire quelques modifications :

« Recherche nain (plus petit que la moyenne) <= menteur, c'est pas vrai! age 3(5) 4; je suis pas aussi vieux que ça non? environ. Il est armé et dangereux, de plus, il est énervé. <= À cause de qui ? Hein ! À cause de qui ? »

Héhé! Comique le petit! Disons qu'en fait, je désire une autre suite!

pour l'instant je dois en avoir 4 ou 5 de taper, mais voilà:

Korak fuyait la taverne en courant, mais comme il ne connaissait pas très bien la ville, il se perdit. Il profita de ce temps pour gribouiller sur quelques affiches.
Il grimpa la montagne, grimpa et grimpa encore, et ceux jusqu’à l’Iloréa, le quartier de la ville en grande partie constitué de séraphins. S’approchant du bord de cette ville construite au dessus du vide, il fut pris de vertiges et tomba dans le vide. Très loin sous lui s’étendait la vieille ville et le quartier qu’il venait de quitter.
En chemin, il rencontra une chose, une sorte de duvet blanc qui l’envahit, et il s’évanoui, bien qu’il ne l’admit jamais.
Quand il se réveilla, il était dans une maison, mais quelque chose était bizarre. Korak observa la maison de là où il était, sans se faire remarqué, ou le moins possible. La maison contenait quatre murs, un plafond, un lit dans lequel il était, une table, quelques chaises et divers tabourets, une commode et un ou deux autre meuble. Sur la table se trouvait deux pintes de bière et, à coté des bières, sur une chaise, un homme avec deux grandes ailes qui pouvait paraître anormal à tout ceux qui ne voyaient pas régulièrement de séraphins.
Celui-ci vit que Korak était réveillé et lui proposa à boire. C’était comme demandé à un malade s’il voulait la santé, Krak se leva d’un coup et fit une rechute : il n’y avait sous ses pieds, en apparence du moins, rien ! Enfin rien, si, il y avait bien deux ou trois choses, mais pas ce à quoi l’on s’attends : il y avait du vide, beaucoup de vide, deux ou trois séraphins qui volaient, encore du vide et la vieille vile sous ses pieds. Heureusement pour Korak, les vapeurs d’alcool qui s’élevait des bières furent suffisants pour l’attirer à la table.
Il se posa à table et commença à boire, Le séraphin commença à parler, il s’appelait Bodoir, était magicien et cuisinier à ses heure perdu. Ce fut à peu près tout ce qu’il fallait retenir des heures et des heures de discours que ce séraphin tint à Korak, et qui ne fut interrompu par des « je peux avoir une autre bière ? » du nain. La réponse à cette question était toujours la même, le séraphin allait dans la cuisine et ramenait une boisson pour chacun des deux, sans s’arrêter de parler. La seule exception étant le moment où il ramena un pack complet.
Enfin, peu après la tombée de la nuit, alors que Bodoir allumait des lampes, un incident se produit : alors que le séraphin venait de demandé au nain pourquoi il était si petit, celui-ci s’énerva directement et avant même la fin de la question avait abattu sa hache sur le pied de l’homme ailée qui s’écria :
« Ouch ! Mon pied !!
- Si tu as eu mal, répondit le nain, je te donne un second coup, ça aide à faire passer la douleur.
- Non, merci, je me demandais juste si c’était ’’Ouchmonpied !’’ la célèbre hache qui entra dans la légende, se moqua Bodoir. »
Se sentant humilié, à juste titre, alors que Bodoir, à juste titre aussi, sentait juste qu’il avait besoin d’une douche, Korak décida de proposer un marché au séraphin pour laver son honneur, alors que c’était lui qui en avait besoin. C’était un marché que tout nain digne de ce nom trouverait honnête, et ce séraphin là aussi : un concours de boisson !
En moins d’une heure, toutes les réserves d’alcool de Bodoir furent bu, et les deux concurrents, qui tenait encore debout, même s’il préférait être contre un mur, bien qu’aucun des deux ne voulait l’admettre, Ils partirent donc tout deux pour la taverne la plus proche.







Et oui, le voilà avec un petit copain le nain!

Un peu susceptible non? Lol
Encore encore!

Non, Beaucoup! J'ai pas ma clef (USB) sur moi donc je le mettrais demain.

D'accord! Oui, je suis d'accord aussi pour dire qu'il est plus susceptible que'un peu...

par contre j'en ai que 6 (ou 7 suivant comment c'est coupé) de tapé, donc après faudra être patient.

Il n'y a pas de problème! Prend ton temps!

Voilà les suites, plus longues, elle est normalement coupé en deux (à l'emplacement du trou). Sinon mini-jeu: Hier j'ai dit que je n'avais pas ma clef sur moi, en réalité je l'avais pommé, deviné où elle était!




Dans la rue menant de la maison de Bodoir à la taverne, les deux amis avancèrent prudemment, non par crainte des bandits et autres voleurs, mais à cause du sentiments propres à celui qui à plusieurs grammes d’alcool par litres de sang. Chacun se cramponnait à l’autre et à ce qu’il pouvait, mais compte tenu de leur état, on peu dire qu’il était bien, même si pour eux, les murs bougeaient et le sol n’était pas droit.
Une fois arrivé à la taverne, les alcooliques s’installèrent à une table tant bien que mal : Quand Bodoir tomba, Korak rigola, et quand Korak tomba, Bodoir ria, avant que le nain ne frappe le double invisible du séraphin, celui qu’il était le seul à voir, redoublant les rire de la cible et rendant hilare la moitié de la salle, celle qui était encore consciente du monde alentours.
Les deux buveurs assit, ils commandèrent à boire, mais fini les alcools faible, place à de l’alcool fort. Les deux s’en donnèrent à cœur joie, chacun rendant trait pour trait, verre pour verre à son adversaire.
Après plusieurs heures de ce petit jeu à un rythme effréné, Korak et Bodoir ralentir un peu le tempo et prirent plus conscience de leur environnement ; mais la quantité important, voir massive, d’alcool circulant dans leur système sanguins à cause du temps passé à boire était telle qu’elle les faisait dire tout haut et sans réfléchir ce que personne n’osait penser tout bas, car elle altérait en même temps leur perception des alentours.
De cette façon, une jeune elfe fut traitée tour à tour de grosse siamoise et d’éléphant à trois pattes. Le prenant, pour des raisons plus qu’évidente, mal, celle-ci se leva de son siège et vint à la table des deux fautifs. Elle toisa Korak de toute sa hauteur et allait dire quelque chose quand celui-ci se leva, ce qui eu pour conséquence de le faire paraître encore plus petit. Il monta sur sa chaise, puis sur la table, pour finir à 10 bons centimètres sous le menton de l’elfe, ce qui fit rire Bodoir. Korak frappa le séraphin.
L’elfe, à moitié morte de rire, lui fit remarquer ’’aimablement’’ :
« - Monsieur, ou plutôt demi-machin, quand on est con, on est con, et quand on est gros, on est gros et on se passe de faire des commentaires décalés sur les autres. »
Korak eu une réaction naine typique, il sortit son arme. L’elfe, plus pour se moquer que pour l’intimider, fit jouer quelques sorts dans sa main, comme si elle réfléchissait à celui qu’elle allait lui lancer.
Frustré, Korak sauta de la table, coupa un siège en deux puis invita l’elfe à prendre une consommation. C’était une proposition que tout nain aurait trouvé raisonnable, mais l’elfe refusa jusqu’à ce que Bodoir ajoute son invitation à celle de Korak. L’elfe s’installa à leur table, sur le dernier siège non occupé et encore entier.



L’état de l’elfe devint rapidement proche de celui de Korak et de Bodoir, car non seulement elle avait bu un verre, mais un second un troisième… Cela peut paraître peu face aux quantités ingurgitées par les deux comparses, mais elle n’avait pas, contrairement à eux, l’habitude de boire en quantité, plutôt en qualité. De plus, elle avait l’alcool mauvais.
Dès que l’alcool coula à flot dans ses veines, l’elfe ne fut plus elle-même, elle commença à chanter et à danser en tibutant. Dans sa ‘‘danse’’, elle renversa la table de deux grosse brute qui se levèrent.
Les deux tirèrent leurs armes, l’un une épée et un bouclier, l’autre deux énormes haches, dont on ne pouvait compter les entailles de coups tant celles-ci étaient nombreuses.
Chacun battit l’air devant lui, ratant l’elfe de peu et coupant une chaise en 4, la cible présumé du coup se réfugia derrière une autre table qui finit en morceau, ainsi que les chaises proches et un petit mètre carré du parquet de la salle.
Les occupants de la table, qui s’étaient levé juste à temps, sortirent leurs armes, pour la plupart des dagues. Korak et Bodoir se levèrent et les imitèrent. Les grosses brutes se jetèrent sur l’elfe et l’un trébucha dans le trou du sol avant de se relever. L’elle réussit tout de même, malgré son état, à éviter l’attaque de l’autre. Korak et Bodoir frappèrent à leur tour, mais vous comprendrez qu’avec un peu plus de deux grammes de sang par litres d’alcool, quoi que, peut-être légèrement plus, mais pas beaucoup, il soit difficile de bien viser. Bodoir cassa encore une chaise de sa masse alors que Korak, qui visait la tête de la brute à terre, lui explosa le pied. Cela engendra une petite discussion entre alcooliques car la brute déclara :
‘‘Brute: Aïe ! Mon pied !
Korak: Mauvaise réponse, c’est Ouchmonpied ! la hache légendaire.
Brute: Ah bon ?
Bodoir: Pffff…!’’
Puis la brute fit passer son épée juste à coté de Korak qui vit celle du double inexistant passer à travers lui. Il pensa qu’il était temps de faire peur aux gens alentours. Pour cela, il utilisa une technique bien à lui, qui eut en même temps de faire baisser son taux d’alcoolémie : il se transforma en ours, et un ours de trois mètre au garrot dans un salle de huit mètres de coté, ça fait du dégâts, surtout si l’on ajoute qu’il était ivre, comme la majorité des client qui voyaient deux ours.
Dès qu’il fut transformé, Korak rugit un grand coup, cassant au passage un verre proche et répandant son contenu. Le patron n’eu pas le temps de s’inquiéter pour le verre, les dégâts étaient déjà considérable et le grognement le stupéfia.
Dans l’instant qui suivit, qui fut d’un calme surnaturel, tous les occupant, armes brandies, ne bougeaient plus un muscle et l’écho était toujours là, Korak envoya une table sur le groupe le plus proche, c'est-à-dire le bar, ses combattants, son tavernier et ses bouteilles qui n’apprécièrent pas l’atterrissage du meuble. L’ours attrapa ensuite Bodoir de l’autre patte et commença à courir sur les trois pattes restantes.
Trois personnes lui barrèrent la route. Un grognement furieux fit fuir la première, quelques chaises la seconde et une griffe éventra la troisième. Les deux amis sortirent, et l’elfe les suivit dans la nuit, assez longtemps pour savoir qu’il ne rentrait pas chez le séraphin.

Est-ce que c'est ton livre?

*Je veux la suite!*

Non, mon livre est un peu plus sérieux. Petite pause pub alors?

Si tu veux, ca pourrait être bien!

Alors petite pub:


Sur les murs de la ville se trouve une affiche:

La taverne du ciel

LA meilleur taverne de la ville, des environs et de plus loin encore vous accueille toute la journée et une bonne partie de la nuit dans son enceinte au cœur de l’Îloréa, le quartier des séraphins.
Ouvert tous les jours, les prix sont bas et la décoration sympathique : le sol et les murs bleu et blancs vous donnent l’impression d’être sur un nuage dans la journée. Quand le Soleil se couche, des petites lumières disséminées un peu partout vous placent au cœur des étoiles sans gêner particulièrement votre visibilité.
Pour finir, la taverne du ciel ne contient ni bandits, ni brigands pour vous détrousser à la sortie.
La taverne du ciel, l’endroit où boire tranquille !




Sur cette affiche était placé un bandeau en masquant une bonne partie. Dessus était écrit :

FERME POUR CAUSE DE REPARATIONS

Engage maçon, charpentiers, peintres en bâtiments et autres pour réparer les dégâts causé par une bandes d’alcooliques (mur enfoncé, meubles brisés et traces de sang à effacé)

j'ai oublié de dire aux autres qu'Eberen que leur avis aussi est interessant.

Oui! Alors:

Je me permet de poster juste pour dire que j'ai rajouter : [série humoristique] dans le titre du topic.

Vu que personne ne réponds, j'en remet une.


Korak et Bodoir se reposaient un peu dans une ruelle. Ils étaient sortis d’Iloréa et s’en étaient éloignés pour échapper, au moins pour un temps, aux recherches, car ils pensaient qu’on les recherchait, à juste titre.
Il se trouvait dans la vieil ville, le quartier le plus mixte, bien que majoritairement habité par des humains. Ni l’un ni l’autre ne connaissait cet endroit, ‘‘raison de plus pour venir, avait dit Korak, on ne nous recherchera pas directement là-bas.’’
Ils s’étaient réfugiés dans une ruelle sombre, montant la garde à tour de rôle, au cas où qu’ils disaient, et l’autre essayait de se reposer. Mais seulement au début, dès qu’il fut clair que ni le nain ni le nain ni le séraphin ne pouvait dormir, ils se mirent à discuter :
« - Korak ?
- Oui ?
- A ton avis, on fait quoi maintenant ?
- Je sais pas trop, on attend que les choses se tassent ?
- Et après ? Je pourrais rentrer chez moi ?
- Je ne crois pas, fit une voix nouvelle, elle a déjà été prise comme remboursement des boissons que vous avez bues et des dégâts que vous avez causé.
- Korak, depuis quand tu as une voix d’elfe ?
- Mais c’est pas moi Imbécile ! C’est l’elfe que tu as forcé à boire !
- Si tu le dis… ZZZZZzzz…
- Korak, reprit la voix fluette, pensivement, c’est donc ton nom, personne ne te connaissait à la taverne, et nulle part tu n’es connu, alors que rare sont les nains changeformes.
- Comment pouvez-vous savoir tout cela, et aussi vite ?
- Quelques sorts, et quelques dettes. Maintenant qu’as-tu à répondre à ça : Comment ce fait-il que personne ne te connaisse dans les environs ? Tous les changeformes ont dû apprendre quelque part et je connais tous les maîtres à cent lieux à la ronde.
- Je ne suis pas du coin.
- Tu n’es pas le seul à ne pas venir de l’île, regarde ton copain, ils sont arrivés, lui et les siens, il y a quelques mois seulement et pourtant ils sont bien intégrés. On ne connaissait personne de leur race avant eux, alors que toi, tu ne dois pas venir de bien loin, suivant ta taille.
- Quoi ! Elle à quoi ma taille ?
- Bon d’accord oublie, mais sinon.
- STOP !!! Interrompit Bodoir qui se réveillait déjà, pas de philosophie, j’aime pas la philo.
- Mais ça n’en est pas.
- Ca y ressemble, alors stop.
- Pour changer de sujet, reprit Korak sans faire attention à l’interruption, quel est ton nom ?
- Je m’appelle Lya. »

Chacun raconta son histoire à l’autre, à un moment, personne ne sait vraiment quand, Bodoir se rendormit, les deux autre finirent par l’imiter, mais Korak avait attiré la sympathie de Lya.

J'aime bien, mais je trouves ces histoires de bueverie peut-être un peu longue...

Ne t'inquiète pas, c'est (pour l'instant) la dernière (d'écrite en manuscrit) surtout qu'il n'ont pas passé longtemps à boire, ils ont jsute un petit contrecoup (enfin je les comprend, avec 5 gramme de sang par litre d'alcool...)

AHah! Je vois!
D'Accord, eh bien, Moretos! J'attend la suite!

C'est le dernier texte pour l'instant tapé, pour le reste, il faudra patienté:


Nom : Lya Race : Elfe Age : 138 ans.

Lya est une jeune elfe qui maîtrise bien les zones défensives de la magie. Elle aime la nature, la fête et la baston. Sa grasse et son agilité lui permettent des prouesses physiques pour éviter les coups. Quand ses deux plus grandes qualité ne suffisent pas, une troisième vient à la rescousse : la chance. En dernier vient se maîtrise de la magie.
Lya adore faire la fête, mais son corps ne supporte pas l’alcool, à part un peu de vin elfique (et encore !) mais tous les spécialiste n’appellent pas ça de l’alcool, mais du jus de raisin.
Sa passion pour la nature vient d’un fait très simple : sa condition elfique, avant, elle la détester, mais le matraquage des autorité sur la question (et sur son corps) l’on fait changer d’avis.
Lya rencontra Bodoir et Korak lors de leur premier concours de boisson, elle les traqua alors pour se venger des conséquences néfastes de la quantité de boisson ingurgité et des conséquence indirect de leur actes.