A l'entrée (Première incursion)

Moretos sorti la flèche du sol et en examina la pointe, pour voir son état et si une substance c'était collé dessus. A première vu, seul un champignon était là, mais il avait poussé tellement rapidement que ça était louche. Il l'enleva et remit la flèche au carquois

Aurais-tu, par hasard, une torche? demanda-t-il, tranquilement, à Eberen qui était derrière lui. Non pas que l'on y voit rien, mais cela pourrait s'avérer utile.

Il avança, prudamment, dans le couloir, l'arc toujours dans la main. Au détour d'un chemin, il fut sur, cette fois, d'apercevoir une forme blanche. Il tira, deux fois, la première flèche passa à travers et la seconde frappa la cible à mi-hauteur. Il se demandait ce que cela pouvait bien être quand la forme se dirigea vers eux.

Eberen sourit à la demande de son coéquipier. D'un claquement de doigt, une source lumineuse asser puissante enroba toutes les pointes de flèche de Moretos, ainsi que son arc et les épées des deux compagnons. "Sort mineur" chuchota alors Eberen.

Lorsque la lumière prit place autour d'eux, la forme blanche que voyait Moretos s'avérait à être quelque chose d'asser particulier.

HJ: je te dirais juste que pour des raisons pratiques, les flèches sont rangés tête en bas dans le carquois, histoire de ne pas se planter dessus pour en prendre sans regarder et l'encocher plus facilement. Et l'épée est au fourreau.

La forme blanche était un squelette sans peau, qui dévallait la distance entre lui et les deux aventuriers. Une cote avait l'air cassé, surement de sa flèche, et l'arrière de son crâne ressemblait fort à... un trou, surement la cause de la mort de l'ancien proppriétaire.

Plaçant son arc en travers de son dos, Moretos tira son épée, qui s'avéra être lumineuse, un choc pour lui, et se plça en garde dans le petit couloir.

Préférer-vous échanger de place? demanda-t-il alors que l'adversaire était presque sur lui

Le druide dégaina son arme elfique, elle aussi lumineuse, et échanga sa place avec Moretos. Lorsque le squelette fut a deux mêtres de l'elfe, ce-dernier s'avança d'un bont, destabilisant l'adversaire. Le squelette fit un faux mouvement d'après le bruit atroce que faisait ses os. L'instant d'après, Eberen, d'un moulinet du poignet, sectionna la tête du mort animé. Les restes du corps s'affala sur le sol dallé.

Eberen rengaina son arme, non-souillé, et se retourna vers le chasseur.

Je vous laisse le prochain? dit-il le sourire en coin.

Moretos, amusé, prit finalement les devants de la marche, enjambant les reste osseux. Eberen le suivit comme si rien ne s'était passé.

Moretos regarda Eberen détruire le squelette qui se réduit en poussière. Après avoir récupéré ses flèches, ils s'enfoncèrent plus profondément encore. A tous les croisement, Moretos s'attendait à voir une nouvelle créature.
A bout d'un long moment, le couloir s'élargit, petit à petit, puis la lumière des armes ne fut pas indispensable. Au loin était une lumière, et Moretos, méfiant, ralenti encore le pas pour être moins bruyant qu'une feuille tombant d'un arbre, il se demandait ce qui allait les attendre là-bas.

Eberen fut quelque peu surpris de la lumière qui sortait de l'embrassure du mur du fond. Des sortes de bruits se faisait entendre, des sortes de couinement. Tout de suite, Eberen tenta ses pouvoirs de druides, essaya de percevoirs, l'aura d'un animal portentiel. Ce qu'il ressemti fut un mélange de faims éternelle et de folies excessive.

"Des rats!" Chuchota-t-il à son compagnon, "Des rats sanguinaire! Il peuvent avoir la taille d'un gros chien. J'en dénombre une demi-douzaine."

"Je leur fais sentir la précision de mes tirs, répondit Moretos, et pendant cette distraction, tu les prends par surprise...d'accord? "

J’acquiesçai en silence.

Moretos entendit l'autre deviner ce qui se trouvait derrière le coude du couloir. Se disant que, dans tous les cas, cela ne pouvait être que mieux et que la salle ne pouvait pas être énorme, si salle il y avait, il encocha en même temps trois flèches. Puis, doucement, il commença à avancer.
A peine entré, il tira. Les rats était peut-être six, comme prévu, mais ils étaient accompagné d'un être bizarre d'où sortait cette lueur étrange.

Deux rats tombèrent sur le tir, et Moretos cria au druide:
Concentrez-vous sur la grande chose, je me charge des rats!!

Il tira une fois encore avant que les trois rats ne soient trop près, il sortit alors l'épée.

Lorsqu'Eberen rentra dans la salle après Moretos, il vit que les flèches de ce derniers fusaient de toutes parts. Après l'avertissement qu'un inconnu était dans la salle, il réagis en un temps éclair. Il bondit par pur réflexes, sans même savoir qu'elle était la chose, dégaina l'épée dans son élan, roula sur le sol et donna un coup...dans le vide! Eberen constata que ce qu'il venait de frapper était un Spectre, un fantôme puissant, et impalpable par l'épée. Le Spectre, avec beaucoup de vivacité pour un mort, s'approcha très rapidement du druide. Le froideur infinie de l'âme maudite troublait Eberen, et en fut un instant paraliser.

Moretos, quant à lui, avait vu la scène du coin de l'oeil. Lorsque le dernier rat fut mort agonisant, le Spectre état déjà sur Eberen accroupis sur le sol. Moretos prit une pointe de vitesse, hurlant une phrase trop pure en elfique pour être apprécier d'un mort. Le Spectre recula, sifflant d'une voix aigue, tandis que Moretos pris par derrière son homologue elfe, et le tira au dehors de la salle. Le Spectre, remis de ses émotions, s'avançait déja sur eux. Eberen, ayant repris le desus sur son corps, prit une dague dans sa botte gauche, et la lança sur l'être morbide. Une fraction de seconde avec que l'arme heurte l'impalpable un autre fois, d'un mot de pouvoir avec aucun accent druide, Eberen transforma la dague en lumière pure. La dague heurta en plein front le Spectre, qui ne pouvait plus mourir, mais qui souffrirait éternellement sur ce sol carrelé.

[Désolé Moretos si je t'en n'ai pas beaucoup laissé à écrire, je me suis un peu laisser emporté... ]

l'avertissement d'un inconnu? c'est bibi qui cri! Et tu m'as laissé de quoi écrire pour faire du butage de rat à l'épée.



Moretos avait pris son épée quand les deux derniers rats lui sautèrent dessus. Préférant se défendre plutôt que d'être blessé par ces créaturs démoniaque, Moretos para la première attaque et esquiva tranquillement la seconde. Puis vint le temps de la contre attaque. Un rat y perdit une patte et le second sa queue, mais les deux furent plus enragé que jamais. Tirant le fourreau de la ceinture, l'elfe bloqua le premier rat. Le second fut plus coréace, il refusa de s'embrocher tout seul sur l'épée de lumière, Moretos fut donc contraint et forcé de lui l'enfoncer dans la bouche jusqu'à la garde. Seul face au second rat, il recula assez pour que celui-ci prenne de l'élan. Au moment où il lui sauta dessus, le chasseur s'aplatit au sol et pointa le plfond de l'arme, deux moitié de rat atterirent à deux endroits distincts.

En elfique, Moretos cria en chargeant le spectre quand il vit le druide en difficulté:
- Crève charogne de démon!désolé mais j'ai pas pu m'en empécher)
Il courrut vite vers le spectre pour lui planté son épée dans un coeur... inexistant. Moretos passa carément à travers son ennemi pour rejoindre Eberen qui acheva le mort qui se tordit de souffrance sur le sol dallé sans plus pourvoir faire de mal à qui que ce soit.

J'ai arrangé le problème de l'inconnu... Dans la fin de ton dernier post, il a non concordance des faits...

Eberen suite au combat spectrale, se remit sur ses jambes tranquilement. Il était bouleversé. Pas seulement à cause du combat, mais à aussi parce qu'il a utilisé de la magie non-druidique. Moretos avait remarqué lui aussi qu'un druide n'était pas supposé connaître des sorts de prêtres, tel qu'une lumière éternelle sur des objet, ou encore, une concentration pour repouuser les mort-vivants...

"Vous avez des sort de prêtre? demanda le chasseur, n'êtes-vous pas druide?"

"J'ai certain sort de prêtre, c'est vrai, commença le druide, j'avais des parent qui voulait me faire prêtre... J'ai donc suivi quelque temps, l'art divin... J'ai fini par prendre le chemin qui m'était réellement destiné... Le druidisme, la nature...l'opossée de l'art divin: L'art profane! La magie des hommes et non des dieux."

L'explication sembla satisfaire Moretos, qui suite à la petite discussion, essayais déjà de trouver une prochaine direction dans les profondeurs des Catacombes de l'ancienne Perenia.

c'est un détail, et étant dans son dos, s'il recule, il me fonce dessus.

Moretos vit l'autre chercher quelque chose. Lui, ce qu'il voulait, c'était trouver une sortie, non pas qu'il ai peur, quoi qu'un peu ne soit pas faux, mais il pensait que ce qu'il venait de trouver ici valait peut-être la peine d'avertir les autorités, puis de revenir avec des renforts.
Moretos repit toutes ses flèches et regarda l'autre qui continuait à se tordre de douleur. Moretos sortit sa dague de sa cachette et la tendit au druide:
Je doute que vous vouliez récupérer la votre, je la récupèrerais quand nous serons sorti.

Eberen remercia le druide et rangea la dague dans sa botte. Il ne restait plus qu'à trouver une autre sortie. Pour cela, il se fiait sur les sens du chasseur:

- Vous avez une petite idée du chemin à prendre? Parce que moi, mon fort, c'est les forêts...

Et moi donc! répondit le chasseur. Nous aurions pu demander à ces cinq là, mais je doute qu'il nous réponde maintenant, et je ne pense pas qu'il ai une carte sur eux. Avançons, si nous voyons un couloir qui monte, grimpons, sinon, ben on verra.


Moretos joignit le geste à la parole et prit un des couloirs partant de la salle, en passant le plus loin possible du spectre toujours vivant et se débattant.

Le corridor choisit était étroit et très morbide. Les murs étaient consitués de crânesd'ossements divers. La majorités des squelettes humains étaient rongés par le temps et les rats. Ce n'est qu'avec beaucoup de prudence qu'Eberen et Moretos continuèrent d'avancer. Plusieurs petits bruits se faisaient entendre autour des deux elfes, même que parfois, il crûrent percevoir des petits chuchotements, très bref. L'endroit s'annonçait effrayant, et dangereux.

Moretos fit signe à Eberen de passer devant. Il lui serait plus facile de couvrir l'arrière avec son arc. Il vérifia sa flèche et bien lui en prit, au fond du couloir, une horde de rat venait d'aparaître. Moretos fit signe à Eberen de courrir, et tira cinq flèche coups sur coups. Les cadavre emplirent le couloir et ralentir les autres, il s'élança à la suite du druide.

La course précipitée empêchait Eberen de voir ou il allait. Dans un tournant, il abouti dans une grande et sombre salle, Moretos sur les talons. Un clic se fit entendre. Un piège! Soudain, de l'huile se fit propulsé d'un oeil de crâne, et aspergea les alentours des deux elfes. Une flamme arriva, brûl;ant le liquide inflammable. Le feu se rapprochait, et ils étaient entourés...

tu sera gentil de ne pas nous faire mourrir si jeune.



Moretos était décidé à vendre chèrement sa peau, mais ils était trop près de l'entrée pour que son arc serve. Il sortit donc l'épée et sortit au druide:
Si vous avez un sort, il seait fort utile maintenant, une chose du genre, faire pleuvoir ou éteindre les flammes.


Il se mit en garde, tout en faisant attention de ne pas touché l'huile. Il était prêt à combattre, et, s'il devait mourrir, tuerait autant de mort qu'il le pourrait.

"Un sort?" pensa Eberen, "Oui, je crois bien avoir ce qu'il faut..." D'un mot de pouvoir, une bourrasque venu de nul part envahit la pièce, soufflant sur feu qui se consumait. Les flammes se dispercèrent, et atteignirent quelques rats. Content du résultat, Eberen sorti la dague offerte et son épée d'elfe. Puis, ne voyant autre chose a faire, il patienta au cotés de Moretos pour l'arrvié des rats restant.

Des cris se rapprochaient de l'autre coté du mur, et, d'un coup, un grand nombre de rats sortirent.
Faisant signe à Eberen, maintenant que le danger était passé, de reculer pour que tout deux aient de la place pour combattre, il se mirent au même niveau, à environ un mètre l'un de l'autre.
Les rats se sindèrent en deux groupes, ils était nombreux, très nombreux, trop nombreux peut-être, mais, sait-on jamais, ils pouvaient peut-être s'en sortir. Car Moretos aimait une chose, l'inutilité du mot "impossible"


Il acceuillit les premiers rats pour en faire une brochette sur son arme et les lança sur les suivant, les ralentissant pour faire de même avec ceux-là. Mais, après trois ou quatres brochettes, Moretos était trop occupé pour compter, les rats évitèrent leur congénaires et il fut encercler. Une danse commença, avec comme issue sa mort, ou, il espèrait, sa survie.

Eberen, de son coter, repoussait chaque rats qui osaient s,approcher trop près de lui ou de Moretos. Tout en marmonnant quelque chose, il transpercait, coupait ou tranchait la chair des rats. Puis, au lieu de marmonner, il chuchota: Onom la jytr. Ensuite, il dit trois mots distinct: Vyladyos do Omenres. Puis en hurlant: OMENRES VLYF BRAKIEN!

Après cet élan de paroles, dans les catacombes, chose inédite, des racines transpercèrent le sol dallé et aggripèrent les rats, des feuilles tranchantes fusaient de nul part en direction des ennemies sur pattes. Saignant de toute part, asphyxiés, tous les rats moururent d'une façon presque différentes.

Puis un rire s'entendit, un petit rire fin, mais couinant.

"Sors ton arc, Moretos. dit alors Eberen, j'ai utilisé un de mes meilleurs sorts, il ne m,en reste plus beaucoup...Et je ne sais absoluement pas de qu'elle créature provient ce rire..."

Moretos s'exécuta, et encocha trois flèches en même temps. Eberen, lui, prépara sa dague et son épée.

Puis, du couloir d'ou venait les rats, les elfes virent un homme arrivé, très mince. Il avait des dents très longues, des petites oreilles, d'énormes yeux, et était très chevelu. Ce n'était pas un homme, c'était un rat-garou.

Dès qu'il vit que ce n'était pas un humain, Moretos décocha les trois flèches. L'ennemi, plutôt habitué à en affronter une à la fois, évita la première mais les deux suivantes le frappèrent à la main et la jambe. Il était cependant, et malheureusement, toujours debout. Et il chargea. Moretos fit un pas de coté car il n'avais pas eu le temps de prendre son arc, l'autre s'en prit donc au druide et il lui sauta dessus par l'arrière.
Ne sachant trop comment le tuer, Moretos le réduit en fine lamelles qui eurent tôt fait de ne plus s'agiter.

Eberen qui s'était vu se faire sauter dessus par le rat-garou, remercia Moretos de lui en être débarasser. IL ramassa la dague qu'il avait échappé, et regarda Moretos:

"Alors, on fais quoi maitenant?"

"Il me semble que rien n'a changé, nous cherchons toujours une sortie, à moins que vous ne puissez le faire avec la magie."

Joignant le geste à la parole, Moretos s'enfonça plus profondément encore dans ce dédale, espérant tomber, vite si possible, sur une sortie.
Le temps passa et rien n'arriva. Moretos commença à avoir faim et les deux aventuriers sortirent de leur besace de quoi se restaurer. A la lumière des armes, ils prirent un déjeuner simple puis repartirent.