Les terres de Perenia
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 De la suite dans les idées?

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Eberen
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Eberen
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeSam 10 Nov - 12:11

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeSam 10 Nov - 12:12

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
[b]- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeSam 10 Nov - 12:15

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
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Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors que j'acquièsait"
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 12 Nov - 9:24

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors que j'acquièsait.
- Malheureusement, oui.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 12 Nov - 11:48

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors que j'acquièsait.
- Malheureusement, oui.


Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.







Je t'ai souligner un petit truc Eberen, j'espère que tu verra ton erreur
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 12 Nov - 14:59

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors que j'acquièsait.
- Malheureusement, oui.


Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.

***
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 12 Nov - 15:24

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***

La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors que j'acquièsait.
- Malheureusement, oui.


Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.

***

Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 12 Nov - 18:24

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.

***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.

***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.

***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeMar 13 Nov - 3:08

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeSam 17 Nov - 18:12

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeDim 18 Nov - 3:53

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeDim 18 Nov - 10:14

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeDim 18 Nov - 13:19

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 19 Nov - 10:56

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 19 Nov - 16:30

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer.


Pourquoi on est que deux à parler?
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 10 Déc - 9:28

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions poser enter deux plantes: Nous nous sommes régalés!
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 10 Déc - 11:55

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeSam 14 Juin - 10:49

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeLun 16 Juin - 5:23

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.Il nous vint à l'idée qu'elle faisait semblant, mais celle-ci fut assez vite mise de coté, il était malpoli de notre part de penser cela d'une invitée.

PS: Est-ce normal que tu utilise un "nous"?
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeMar 17 Juin - 14:14

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.Il nous vint à l'idée qu'elle faisait semblant, mais celle-ci fut assez vite mise de coté, il était malpoli de notre part de penser cela d'une invitée.

Puis, soudain, sans explications, cette dernière souffla très faiblement:

- Élisia...

Une larme roula le long de sa joue.


Ps: Oui, le nous incluait la jeune femme...
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeMer 18 Juin - 4:44

comme c'est une pensée ça fait bizarre

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.Il nous vint à l'idée qu'elle faisait semblant, mais celle-ci fut assez vite mise de coté, il était malpoli de notre part de penser cela d'une invitée.

Puis, soudain, sans explications, cette dernière souffla très faiblement:

- Élisia...

Une larme roula le long de sa joue. Intrigué de ce mot, de ce nom solitaire, je passait à deux doigts de lui demander qui, ou ce qu'était cet Elisia, mais je me retint, elle était encore fragile, et il ne fallait pas la brusquer
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeVen 4 Juil - 5:39

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.Il nous vint à l'idée qu'elle faisait semblant, mais celle-ci fut assez vite mise de coté, il était malpoli de notre part de penser cela d'une invitée.

Puis, soudain, sans explications, cette dernière souffla très faiblement:

- Élisia...

Une larme roula le long de sa joue. Intrigué de ce mot, de ce nom solitaire, je passait à deux doigts de lui demander qui, ou ce qu'était cet Elisia, mais je me retint, elle était encore fragile, et il ne fallait pas la brusquer.

- Élisia, répéta-t-elle

Je ne pus arrêter ma curiosité. Je lui demanda sans attendre qui pouvais être cette fille, femme... ou même monstre!
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MessageSujet: Re: De la suite dans les idées?   De la suite dans les idées? - Page 4 Icon_minitimeVen 4 Juil - 14:35

Dehors, sous une lune brillante, les feuilles rouge et or d'un arbre d'automne prenaient finalement place sur un sol froid. En dessous, un lapin faisait ses réserves sous un oeil attentif. Tandis que dans les feuillages se trouvait un merle noir, couché sur un nid rempli de sa descendance. Au loin, un orage se préparait et le vent soufflait déjà. La nuit sans étoile s'annonçait mouvementée. Dire que certains en prévoyait pour un mois sans interruption, j'espèrait que ce ne serait pas le cas, on dit qu'ils ne sont pas fiables. Pourtant, le ciel menaçait de faire tomber des clous...Question de ne pas me faire surprendre par la tempête, j'avait pris la précaution de me camoufler dans la seul cachette que je pouvais trouver : Ma caverne, j'y ai amassé un tas de nourriture, pour ne pas me la faire voler par tous ces goinfres!

Ensuite, la colère des cieux vint, rapidement et ravageant tout sur son passage. La foudre éclata, le tonerre rugit, d'énormes objets tombaient du ciel. J'avais l'impression d'entendre rugir des géants, tellement le plus était assourdissant. Dehors, plus rien ne bougeait. C'est alors que je l'apercue, immobile, bravant les éléments. Une jeune fille en haillons se tenait là, à quelques mètres de moi...trempé de la tête au pieds, elle ne semblait pas le remarquer. Ses lèvres tremblaient, son corps tremblotait, devais-je l'aider?
La laisser ainsi serait inhumain, c'est pourquoi prenant mon courage à deux mains je sortis pour l'aider. À peine avais-je amorcer la marche vers elle, que celle-ci ce retourna brusquement, l'air furieux. Alors que je m'approchais d'avantage, elle se déroba. Ne voulant pas rester là, laissant une jeune femme dehors par se temps, je me dis que je pourrai peut-être faire mon courageux, et la retrouver. Malheureusement, je ne la voyais plus, mais je suivis tout de même sa trace dans la boue toute fraîche et déjà bien profonde.

Après quelques minutes, je sentais déjà la sureur me perler le front et mes cheveux collés à mon visage: mais je ne voulais pas abandonner, cette fille m'intriguais bien que trop pour cela.
La pluie continuait de tomber drue et m'empêchait de voir bien loin, toutefois le bruit de succion des pas en s'enfonçant et en ressortant de la boue était bien audible au milieu des clapotis des gouttes... Je me mis à courir, dans la direction des petits bruits qui me dirigeais, pour finalement aboutir à ce que je cherchais: une jeune femme, inconsciente sur le sol de terre boueuse.

Elle s'était évanoui, mais à cause de quoi, elle m'intriguait de plus en plus.
Peu importe ce qui lui était arrivé, l'important pour le moment était d'aller se mettre à l'abri... Je la pris sur mes épaules avec peines et misère, et l'amena déréchef à la caverne.
La, je la regardait de plus prêt, ne sachant que faire. Son corps était froid, ses vêtements trempés lui collaient à la peau. Au diable la pudeur, une couverture chaude lui était préférable. Je lui enlevait ses vêtement, la plaça dans une couverture et la mit à coté du feu créé pour l'occasion. Puis, je décida de veiller sur elle jusqu'à son réveil.


***


Lorsqu'elle ouvrit finalement les yeux, elle se leva, ce qui eu pour effet de faire tomber la couverture qu'elle s'empressa de remettre lorsqu'elle vit ses vêtement posé à coté d'elle. Elle dirigea ses yeux vers les miens, et ne dit pas un mots, laissant un silence complet dans la caverne. Celui-ci me rendit mal à l'aise mais je n'osait le rompre. Je lui tendis alors un morceau de viande de lapin qui brûlait sur le feu, pour lui montrer mes bonnes intentions. Elle le prit et le mangea avec avidité, elle ne devait pas avoir fait cela depuis longtemps. Pendant les brefs instants qu,elle prit pour dévoré sa pièce de viande, j'en profitais pour m'instaler un peu plus confortablement, la tempête faisait toujours rage dehors.

Malgré tous mes efforts, je ne pouvais empêcher mon regard de se poser sur elle. Et plus je la fixait, plus j'avais l'impression désagréable que quelque chose ne tournait pas rond. Elle resemblait à autre chose, quelque chose de faux, de surnaturel...peut être même d'essence magique? Je ne le savais point, et elle interrompit mes réflèxions d'un "Bonjour!" qui rompit le silence. J'en fut surpris, mais heureux!
Je me redressai rapidement et le sourire aux lèvres je lui répondai, un peu hésitant, cherchant mes mots:
- "Hum! Bonjour. Heu... Madame...
- Sans doute...en fait je m'en rappele pas très bien, c'est un peu flou pour l'instant."
Toujours de cette voix qui chancelait par l'ignorance de ce que je devais faire, je lui dit:
- "Heu...puis-je me permettre...de vous demander qui vous-êtes?
- vous pouvez, mais je ne m'en souviens plus.
- Vous devez bien avoir un nom?
- Je ne sais pas, j'était chez moi et, d'un coup d'un seul, j'était ici, sans autre souvenir que celui-ci.
- Et donc, cela vous permet pas de vous rappeler vous étiez, chez vous?
- A en jugé par la décoration, quelqu'un de simple... ou de pauvre."

Je prit une pause, voulant la laisser respirer un peu. Elle en fut reconnaissante et, disant qu'elle était fatigué, demanda où elle pouvait se reposé. Je lui indiquai un semblant de couche, formé de peau animal, dans un coin de la caverne. Elle se leva, partit s'allonger dessus et s'endormit presque aussitôt, en ronflant très fort. Je décida de faire pareille, sur le sol dur et froid.


***


La matinée s'annonçait relativement bien, car lorsque j'ai ouvert les yeux, je m,aperçu qu'au dehors, il n'y avait plus d'orage. J'était heureux, je ne serais pas coincé dans mon coin pour longtemps, comme c'était prévu. J'agrippait mon bâton de fortune a mes pieds, et bondis sur mes pieds, fin prêt. Puis je vit la femme dans mon lit et je me souvint de la veille, qui m'était complètement sorti de l'esprit. Je pris le soins de ne pas faire de bruit. Puis, je me dirigais a l'extérieur, pour voir l'étendu des dégats de l'orage. L'eau avait emporté les buissons, certains arbres avaient étés brûlés par les éclairs foudroyants, devant moi s'étandait à présent à la place de la magnifique forêt d'hier, un paysage que l'on aurait qualifié de "chaotique". PLus rien ne ressemblait à ce qu'avait été le paysage auparavent. Sauf, bizarrement, ce que j'avais sous les yeux. Ébahi, je constatai, émerveillé, que dans l'empriente de terre bouesuse ou la jeune femme était tombée, un gazon épais et frais avait poussé et une fleur pourpre solitaire y étalait ses douces beautés à la lumière du soleil matinal. Je la cueillis, entre mes doigts, et l'observa le temps de me rendre a ma couche, ou dormait une belle inconnue. Celle arriver la veille, qui maintenant se réveillé, aparamment après une très bonne nuit de sommeil. Je m'emerveille du fait de sa beauté sans pareille, et de son sourire vermeille. Elle se leva et, beaucoup plus terre à terre que moi, demanda si il y avait de quoi mangé; entendant mon ventre grogné, je me dit que je ferais bien de l'imiter et je sortit d'un coin de la grotte les restes du repas d'hier, ces restes, pas très apétissant d'aspect, son en réalité délicieux une fois réchauffé, c'est ce que compris mon invité après avoir essayé cette viande froide. Je pris ensuite le soin de recuillir de l'eau de pluie d'hier dans un verre de feuilles improvisée. Elle me vit et m'imita, je la comprenait, elle avait passé un long moment sans boire.
- "Vous vous ne rappelez toujours pas qui vous êtes? lui-dis je alors qu'elle buvait.
- Malheureusement non", fut sa seul réponse

Regardant ma caverne, je réfléchis:
- "Si vous voulez, je pourrais vous aidés à retrouver ce que vous avez perdu...
- Je n'y perds rien à essayer, vous par contre... Mais au fait, qui êtes vous?
- Je suis celui qui fut. Je ne suis que moi maintenant. Cela vous suffit?
- Je suppose que je devrais m'en contenter, repondit-elle alors qu'acquiescant, je secouais légèrement la tête.
- Malheureusement, oui.

Nous finîmes par partirent, à la recherche de ses origines.
Et touchant la fleur que j'avais mise contre mon coeur, j'imaginais déjà à quoi allait ressembler cette aventure.


***


Nous ne sommes pas partis loin, car nous commençâmes nos recherche par son lieu d'arrivée, pour trouver celui de départ. Les souvenirs vagues combinés aux ruines de la tempête ne nous aidèrent pas à trouvé l'emplacement exact,mais, nous croyions être dans les bons environs. A l'endroit exact en ralité, facilement reconnaissable. Le changement de température qui survint dans l'instant nous faisait transpirer. En effet, nous aviions l'impression de nous retrouvez dans un four.

La jeune femme avait qui je me trouvait, avait pourtant l'air d'être très confortable, mais je ne lui fit pas la remarque. Elle me demanda aimablmeent ce qu'il fallait chercher.
- Je n'en sais rien! Des détails qui vous feront peut-être revenir la mémoire?

Satisfaite par cette réponse, elle commença à chercher, mais alors que le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel, la faim commença à nous tirailler et nous nous arrêtèrent pour nous restaurer. Un lapin trop aventureux se fit prendre dans le piège que nous avions posé entre deux plantes: Nous nous sommes régalés! Des racines commestibles complétèrent le repas. Seulement, pendant tout le temps du frugal repas, nous ne sachions que faire, que penser, concernant les souvenir de la jeune femme.Il nous vint à l'idée qu'elle faisait semblant, mais celle-ci fut assez vite mise de coté, il était malpoli de notre part de penser cela d'une invitée.

Puis, soudain, sans explications, cette dernière souffla très faiblement:

- Élisia...

Une larme roula le long de sa joue. Intrigué de ce mot, de ce nom solitaire, je passait à deux doigts de lui demander qui, ou ce qu'était cet Elisia, mais je me retint, elle était encore fragile, et il ne fallait pas la brusquer.

- Élisia, répéta-t-elle

Je ne pus arrêter ma curiosité. Je lui demanda sans attendre qui pouvais être cette fille, femme... ou même monstre! Mais sa réponse fut un simple "je ne sais pas", laissant le doute entier: était-ce elle-même, était-ce la cause de son amnésie, ou bien était-ce autre chose encore?
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