Concours #2 : Émotion

Salut tout le monde!!! J'espère que vous êtes en forme car l'heure fatidique à sonnée: C'est le début d'un nouveau concours!! Bon, laissez-moi vous le présenter. Cela va comme suit:

Concours #2: Émotion

Il s'agit donc de décrire en un court texte une émotion au choix (la peur, la joie, l'anxiété, etc ). VOUS N'ÊTES PAS OBLIGER D'ÉCRIRE UN TEXTE DESCRIPTIF: il vous est aussi permit d'écrire un texte narratif! À la seule condition que le sujet principal soit la-dite émotion! Je vous donne un exemple:

MAUVAIS TEXTE: Je marche dans la forêt en cherchant à tuer mon voisin pour une sombre raison, il m'arrive pleins de péripéties, je rentre chez moi, Holàla! encore pleins de péripéties... Ah tiens! J'ai une émotion. Il m'arrive pleins d'aventures à nouveau, avec pleins de sang et d'atrocitées... c'est fou comme ma vie est bien remplie! Je tue mon voisin. Ahaha j'ai gagné! Fin.

BON TEXTE : Je me promène dans la forêt en cherchant à tuer mon voisin. Je veux me venger de lui car il a tué ma soeur. J'explique le ressentiment que j'ai, la tristesse que je ressent, la frustration, la soif de justice. Quelques Péripéties au choix... Mon ressentiment est encore plus grand! Je brûle d'impatience, j'ai soif de sang de voisin! Ahaha! Je tue mon voisin. J'exhulte, je suis joyeux, je fais la fête, etc

Vous voyez le genre ? XD J'espère que c'est assez clair...


Restrictions ou Informations:

* Minimum 300 mots
* Maximum 700 mots
* Votre personnages n'as pas à être impliqué dans la conversation, c'est un texte libre, mais il le peut.
* Vive le Copier/Coller des règles d'Eberen.
*La date limite de remise est vendredi prochain, soit le 12 octobre, ce qui vous laisse un tout petit peu plus d'une semaine.



NOUVEAUX RÈGLEMENTS, pour le bon fonctionnement des concours. DONC à partir de tout de suite, tous les participants devront m'envoyer par MP leur(s) texte(s) ( wéééé! Pleins de messages pour moi! ). Je les publierais par la suite sous forme anonyme. Tout cela pour éviter toute forme de favoritisme envoers un autre membres. Les auteurs ne seront anoncés qu' une fois les votes terminés!

Aussi, il est maintenant possible pour un participant de m'envoyer plus d'un texte. Cenpendant, un seul est elligible au concours... Il faudra donc choisir, à moins que vous ne vouliez que je le fasse pour vous
. Donc si vous m'envoyez un texte puis décidez que non, finalement, vous ne l'aimez plus et que vous préférez en écrire un autre, C'EST MAINTENANT POSSIBLE! N'est-ce pas magnifique ??



Bon je crois que j'ai assez causé là! Mon dieu! Une fois sur ma lancée, je suis intarrissable! Alors euh... il ne me reste plus qu'à vous soufaitez BONNE CHANCE et PARTICIPEZ TOUS EN GRAND NOMBRE!!!

Et à vous rappellez que tous textes qui ne respecte pas les consignes ou qui ne m'est pas envoyer par MP, sera automatiquement classé Hors concours! ^^




DONC nous sommes presque rendus à la fin du coucours et il est donc temps pour moi de poster les entrées que j'ai reçues jusqu'à présent. Je vous rappel qu'elles seront publiées de façons anonyme et ce, jusqu'à ce que les gagnant est été désignés.

Donc, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter bonne lecture et bonne chance !

TEXTE 1 : Ça

C’est le printemps, saison du renouveau. Les fleures fleurissent, la neige fond et une sensation de bien-être s’étend partout autour de nous. C’est le printemps, la saison des amours, les oiseaux volent, refont leur nid, un vent frais parcours le pays. C’est le printemps, le moment ou jamais de recommencer ta vie, peut-être pas à zéro, mais la reprendre, recommencer à vivre peut-être, après un long hiver de solitude…

Tu marches pourtant seul, comme la plupart du temps. Tu aimes marcher seul, ça te procure une sensation de repos. Malheureusement, aujourd’hui ce n’est pas le cas. Alors que tu essayais de te changer les idées, d’éclaircir tes sombres pensées par le brillant soleil de la nouvelle saison, tu ne fais que t’enfoncer. Bizarrement, cette nouvelle saison ne t’amène aucune sensation de joie comme elle devrait le faire.

Voilà maintenant, tu te sens seul, plus seul que jamais. Tu ressens en toi ce sentiment étrange que rien ne va, que soudainement tout est trop loin, que plus rien n’est à portée de mains. Tu courbes le dos et t’enfonce un peu plus dans ton manteau. Non loin de toi s’y trouve un rocher. Plus incertain que tu ne l’as jamais été, tu vas y prendre place. Devant toi s’écoule une rivière, à l’allure si apaisante. Pourtant toi, tu la regardes, affolé. Lentement ta gorge se noue, tes jambes sont molles et une main vient s’emparer de ton estomac. Tu as le cœur pressé et cette irrésistible envie de pleurer, mais pourquoi pleurer ?

Les oreilles te bourdonnent. Tu as peur, tu ne comprends pas pourquoi, pourquoi soudainement tout sort de ton contrôle. Ton corps ne semble plus être le tien. Les illusions de bien–être que tu projettes aux autres ont disparues. Tu es a nu, tu as peur, tu as mal. Plus rien n’est sous ton emprise, tu n’agis plus, tu subis. Tu subit tout ce que tu as toujours subit, mais cette fois, tu le fais sans force sans but, sans ambition.

Tu regardes autour de toi, plus le temps passe plus ce stress inconnu grandi en toi, la pression devient plus lourde et tu t’écrases de plus en plus. Tes mains sont moites et tu fixes nerveusement une feuille prise dans un tourbillon. Tu as l’impression d’être la feuille, impuissante et coincée.

Tu te sens lasse, tu es seul, délaissé, incompris. Tu as pourtant de nombreux amis, prêt à t’écouter, t’aider. Mais pourtant rien ne te va, tu n’es pas prêt a leur en parler et tu ne comprend pas ce qui t’arrive, comment expliquer à quelqu’un ce que l’on ressent quand nous même ne le savons pas ?

Tu repars, te relève du rocher et te dirige vers chez toi. Tu es effrayé, d’être seul, abandonner, ton corps n’en peu plus, tu trembles de partout. Puis un vent frais vient doucement te caresser. Lentement tu te remets à respirer, une larme coule. Tu ne comprends toujours pas, mais tu ne veux pas comprendre, tout ce que tu veux c’est que ça se termine enfin. Arrivé chez toi, tu es épuisé, ton cerveau roule a un vitesse impressionnante, des idées plus folles les une que les autres se passent dans ta tête, puis, exténué, tu te couches et t’endors. Cette sensation qui t’a tenaillée l’être est enfin disparue. Finalement tu recommences à respirer, à vivre, mais pour combien de temps encore… ?

C’est l’automne, saison des couleurs et je vis.

Clément était assit, seul dans sa chambre, calepin en main. Il n’aimait pas particulièrement écrire, mais parfois il trouvait cela plus simple pour passer un message qu’il était incapable de dire verbalement. Il écrivait donc, perdu dans ses pensées et dans la musique qui jouait.

«Let me apologize to begin with
Let me apologize for what I’m about to say
But trying to be genuine was harder then it seemed
And somehow I got caught up in between»

Surprenant à quel point on peut vivre par la musique. On dirait parfois qu’elle dit ce que je ne peux pas m’avouer. Comme si les paroles étaient une explication de ma joie, de ma tristesse ou de ma rage. Elles disent ce que je ressens et c’est pourquoi je te les écrits sans les traduirent…

«I cannot explain to you
In anything I say or do
But hope the actions speak the words they can»

Ne trouve-tu pas que le temps passe, plus on regrette de ne pas avoir réussi à passer des messages, à exprimer les sentiments qui nous traversent. Parfois j’ai l’impression d’être aller trop vite. Je me dis que j’aurais du m’arrêter et prendre conscience de ce qui m’entourait avant de continuer mon chemin. J’y ai pensé, mais quand l’occasion se présentait, je continuait tout droit, comme si le fait de prendre une pause de quelques instants briserait toute la beauté du moment. Maintenant je regarde en arrière en me disant que j’aurais du prendre mon temps pour me rediriger, nous rediriger…

«Don’t be afraid
I’ve taken my beatings
I’ve shared what I made
I’m strong on the surface
Not all the way trough
I’ve never been perfect
But neither have you»

Ne pense pas que je me sauve, que pour moi tout est bien. Ne doute pas non plus du passé. J’ai toujours été honnête avec toi et je prévois le rester. J’ai fait mon choix autant pour toi que pour moi. Ma place n’était simplement plus à tes cotés…

«This is where you come in
All of this to explain to you why
I had to separate myself away from yesterday’s life
Please remember this isn’t how I hoped it would be
But I had to protect you from me
[…]
That’s why I slipped out the back before you knew I was there
And I know the way I left wasn’t fair
I didn’t want to be around just to bring you down
I’m not a hero but don’t think I didn’t cared»

Clément s’arrêta un instant pour essuyer les larmes qui lui brouillait les yeux. Il se rappelait tous les bons moments qu’ils avaient passé ensemble, des moments qui resteront toujours dans sa mémoire. Son cœur, noué de chagrin, semblait imploser sous ses côtes. Son souffle, court et rapide, commençait tranquillement à reprendre un rythme normal.

Il relut la lettre, la signa et déchira la page qu’il plia avec soin avant de l’insérer dans une enveloppe déjà prête à la recevoir. Il la mit sur son bureau, prit ses clés, son téléphone et son lecteur de musique. Une fois sorti de sa chambre, il prit son sac de hockey, son bâton et parti à sa pratique. Rien sur son visage ou dans ses mouvements ne laissait croire sa tristesse. Après tout il y a certaine choses qu’on préfère garder pour soi.






[Les paroles de chanson sont des extraits des chansons suivantes (dans l'ordre): In Between - Linkin Park (2); Leave Out All The Rest - Linkin Park; Slip - Fort Minor]

TEXTE 4: Une histoire à couper le souffle

C’est l’histoire d’un vieil ami... Non… Plutôt d’une bonne connaissance, que j’ai eu le malheur de tuer…

Un homme est assis à une table.

Un homme boit une bière.

Cet homme est seul…

Isolé dans le coin droit de la taverne du Baril Bourré, Adam est las. Las d’être encore une fois, seul, au milieu de cette harde d’hommes et femmes ivres jusque par-dessus la tête. Seul il demeure depuis… Depuis quand dont? Il n’en sait trop rien et il ne veut même plus le savoir.

Mais pourquoi cette solitude? Pourquoi ce retrait de cette société pourtant si joviale et accueillante? Était-ce à cause de sa jeunesse troublée par les coups violents de son père? Ou le décès de sa mère gravement malade. La réponse reste introuvable.

Tout cela pour dire qu’Adam n’avait jamais eu une conversation avec un être mis à part avec ses pensées tourmentées. Adam était une âme oubliée qui vagabondait, essayant de trouver un sens à son existence si inutile. Jamais on ne le voyait discuter, ricaner ou encore moins chanter. Ce jeune homme parlait autant qu’une vieille statue de marbre installée au centre de la place publique et encore là, un monument réussissait à être plus social. Néanmoins, on le voyait souvent écrire dans son petit calepin noir, fabriqué en un cuir de qualité supérieur. Il rédigeait des poèmes classiques, des histoires abracadabrantes, des pensées personnelles etc. C’était le moyen qu’il avait trouvé pour exprimer ses émotions et l’on respectait ce choix.

Adam sirotait sa boisson tout en regardant ses fêtards festoyer en chœur. Jamais il n’aurait eu les couilles de se lever et de faire valser les charmantes demoiselles piétinant cette piste de danse. J-A-M-A-I-S! C’est tout.

C’est alors qu’une ravissante jouvencelle, assise devant le bar, toisa son regard furtif. Elle le fixait, le dévisageait, comme si elle voulait démasquer une facette caché du jeunot inoffensif. Depuis combien de temps elle l’espionnait? 2 minutes? 10? 30? Il n’en savait point.

Elle lui sourit. Oui. Elle lui sourit. Un sourire léger, simple. Un sourire à l’apparence si fragile qu’on aurait pu le casser en le pinçant trop fort.

Une teinte rouge pâle fit son apparition sur les pommettes d’Adam. Ses mains, si sèches et rugueuses, devenaient presque moites. Sa jambe se mit à sautiller sur place tel un cheval impatient de parcourir la course finale.

La fille le regarda longuement, émit un rictus adorable et se dirigea vers lui. La teinte rouge pâle passa maintenant au rouge violacé. De fines gouttelettes se formèrent sur son front nu. Elle s’approcha davantage et enchaîna avec une phrase :

«Bonjour jeune silencieux, je suis Mélodia et suis amoureuse de vous.»

La jambe d’Adam n’en pouvait plus. On pouvait quasiment entendre le plancher gémir de cet interminable trépignement.

Adam lui fit des gros yeux, sans prononcer le moindre minuscule mot. Cette adolescente avait l’attitude et la silhouette d’une prostituée, il en était sûr. Elle voulait profiter de son corps pour un peu de monnaie. Adam craignait ce type de personne.

-Tu n’as pas à être si timide mon beau loup, lui déclara Mélodia, je veux simplement te connaître …

La dame s’assit sur Adam. Celui-ci resta stoïque, malgré la modique érection qui commençait à le démanger sérieusement. Il haletait tel un petit chiot et tremblotait comme un chaton qui sort de l’eau glacé.

« Vas-tu t’en aller! Vas-tu me ficher la paix!» Criait son esprit enragé.

-Je vais te détendre un peu…

Sur ce, Mélodia embrassa vigoureusement Adam. L’homme frêle se laissa aller contre sa volonté à la douceur de cette femelle. Tout à coup, Mélodia recula d’un bond en criant d’effroi. Un cri strident à s’en arracher les tympans. La salle, éberluée, contemplait avec stupéfaction la langue pendante d’Adam, sectionnée au ¾.

Enfin, l’assistance connut le secret de l’homme muet, qui avait toujours eu la langue coupée, et qui ne l’avait jamais révélé.

C’était l’histoire de mon vieil ami… Ou plutôt de ma bonne connaissance. Adam s’est pendu aujourd’hui, dans mon écurie. Il m’a laissé cette note avant de se tuer :

« Le silence de mon corps peut maintenant jacasser avec les morts, merci sale garce.»

Cordialement, Adam le silencieux

J’attrapai pour celle-ci, une envie lointaine. Comme un maelström des mers, elle entraînait en moi une prenante et profonde attirance dans les bas fonds, les premiers instincts humains. Quelque chose en moi me poussait à ne jamais la lâcher. Je ne pouvais la lâcher. J’adorais les sensations fortifiantes que me conférait sa présence, sa prestance! Je me sentais alors grand, très grand! Je ne croyais pas avoir ressenti telles émotions de joies, d’amours et d’envies dans une vie antérieure.

Lorsque je pouvais, la prenant par la main, l’entraîner dans un champ de roses et d’épines, je me voyais alors accorder un cadeau. Un sourire rouge. Un regard perdu, dans les brumes de l’au delà. Elle devenait écarlate, empruntant l’extrait des roses. Enjolivée par un soleil dominant les cieux, elle brillait. J’en pleurai de joie.

Cette brillance sempiternelle m’éblouissait. Cette lumière égratignait mes yeux larmoyants, et je devenais aveugle. Je ne pouvais plus m’arrêter de la tenir, elle, toujours plus au-dessus de moi. Je ne voyais plus les choses qui m’entouraient. Je ne faisais plus que l’écouter, car je ne percevais plus ce que je faisais, ce qu’elle faisait. Ensuite, une puissance nouvelle s’infiltra en moi plus profondément, perçant ma peau, envahissant mes poumons et détruisant mon cœur. J’étais maître, du moins je le croyais, c’est ce qu’elle me faisait croire.

Comment la croire! Je réalisais alors que je n’avais plus de cœur. Les dernières parcelles de mon être, de mon corps, ce qui restait de mon existence, ne m’appartenaient plus. Rien de cela ne lui était pas déjà voué. Elle me dirigeait, me dictait mes actes pour ainsi dire sans mon consentement, et si elle l’avait, ce n’était qu’avec fourberies et perversions! Je me sentais sale, couvert de malheurs qui n’étaient pas les miens, je me sentais comme le traître qui aurait été trahis. J’en pleurais de tristesse et de rage.

Aujourd’hui, je vois très clairement les bienfaits et les méfaits qu’elle apporte en nos terres, nos vies et notre avenir. Je ne me suis plus approché d’elle ou d’une de ses sœurs depuis six ans et soixante-six jours.

Aujourd’hui, c’est la fin. Je suis sur le seuil de ma vie. J’ai consentis à me coucher auprès d’elle pour une dernière fois, pour que même trépassé je me souvienne d’elle. Elle, une perfection humaine.

Elle, pour ma joie et ma tristesse, pour sa beauté et sa cruauté, je la repose sur mon corps couché, prêt à expirer, à rendre l’âme.

Elle, cette épée forgée par les nains, responsable de bonheurs et de malheurs, je l’empoigne maintenant dans un dernier souffle, pour ne plus jamais la lâcher.

(Il serait bon de lire le texte une deuxième fois!)

TEXTE 6 : Il

Il s’en moque. J’en suis assuré. Il me le dit, me le répète. Il insiste, s’acharne, harcèle, irrite, afflige, fauche, immole. Il s’en va, raillant. Non, il ne part pas, mais il s’en moque toujours. Il demeure. Il attend. Il t’attend. Il m’attend au bord du précipice. Il sait que je m’y rendrai. Il sait que j’y tomberai, dans son piège. Il sait que je n’y pourrai rien, que je succomberai. Une fois de plus, il s’en moquera, me ridiculisera. Il fera comme il a depuis si longtemps fait. Je ne le connais pas. Je ne le connaissais pas. Lui, il me connaît. Il connaît tout de moi. J’en ai peur.

Il n’est jamais seul. Il a beaucoup d’amis. Le malheur qu’il m’inflige retentit de ses amis. Ceux sont eux qui enfourchent les restes de ce qui reste de moi. L’un d’eux m’embobine les entrailles jusqu’à ce que le souffle me manque. Un autre mijote dans une chaleur infernale le peu d’humanité qu’il me reste et éveille le fauve en moi. Le troisième étanche sa soif interminable avec les larmes qui ruissèlent sur mon visage et orne mes yeux de cernes. Le dernier, le bourreau, vient et dissipe toute la lumière et ne laisse derrière lui que noirceur, que le cadavre d’une âme qui existait auparavant, après lui avoir dédiée une bonne agonie.

Ensemble avec leur aide, ce démon ma convaincu de perpétrer les pires injustices, de faire le mal comme on me le fait contre la personne qui est la cause de tout mon malheur. Contre cet être qu’on me décrit comme celui que je ne serais jamais, celui que j’envie parce que ma vision n’est devenue que lui.

Ce démon de ma pensée, du nom de Jalousie, mène à mort celui ou celle qui le fréquentera trop. Il ou elle sera tourmenté par Angoisse, Rage, Tristesse et Désespoir qui vivent de ce sentiment dont je souffre, surtout lorsque le jalousé rie du jaloux.