Autour d'un feu, la nuit...

Eberen, ayant senti un malaise quelques heures auparavant, s'était décidé à rejoindre la petite forêt en bordure de Perenia, ce qui lui permettrai de prendre de l'air et de se rafraîchir les idées.

Son loup l'avait suivi, comme toujours, jusqu'à une petite clairière à l’intérieur des bois. Ayant pris le chemin de terre, Eberen se dit qu’il devait s’agir d’un endroit pour petit campement de voyageur. Il s’installa sur le sol humide, devant se qui semblait être les vestiges d’un feu de camp. Il resta dans la même position quelques instants, essayant de se mettre dans un état de calme et de sérénité.

La soirée se déroula rapidement. La nuit commençait déjà à montrer quelques signes avant coureurs. Trait d’argent se mit alors à jouer de son museau sur la joue de son maître, pour le faire réagir. Le druide, alors dans un semi sommeil, ouvrit les yeux sur son familier.

- Cela fait bien longtemps que nous n’avons discuter mon ami, dit-il alors tranquillement l’air stoïque, bien longtemps que nous nous sommes amusés comme au temps de ma jeunesse !

Puis, sans avertir, il se jeta sur son loup pour le faire tomber. Trait d’argent grogna amicalement et mordilla les mollets de l’elfe en représailles. Leur petit jeu durant un moment, jusqu’à l’abandon d’un druide éreinté. Eberen ne s’était jamais sentis aussi heureux et joueur depuis un demi-siècle, quand il faisait les mêmes jeux avec le père de Trait d’argent. Il riait, larmoyant de joie.

Après de nombreux efforts pour se ressaisir, il se redressa devant le feu qu’il avait allumé peu de temps avant et murmura de l’elfe à son jeune loup pour l’endormir. Il avait décidé de dormir à la belle étoile. Pourtant, malgré son loup qui sommeillait, Eberen se sentait un peu seul, par cette nuit humide. Il avait un feu crépitant de chaleur devant lui, l’elfe ne pus s’empêcher de, lui aussi, tomber dans les bras de Morphée…

Il dormait.

La jeune prêtresse avait toujours préféré la nuit du jour. Pour une raison obscure et inconnu la nuit lui apportait une sensation de bien être qu'elle ne retrouvais pas dans la lumière du jour, pourtant si accueillante. Sowen avançait donc, d'un pas lent et précis dans la fôret, qui était pour elle une seconde maison. Alors qu'elle s'apprêtait à tournée vers l'est, rejoindre un petit ruisseau pour se désaltéré, la lumiere d'un feu attira son attention, d'une curiosité sans borne la semi-drow s'approcha de la source de chaleur. Un corp, d'apparence masculine était étendu sur le sol, a son côter un loup, qui lui semblait famillier, se reposait calmement, la respiration lente et profonde. Elle continua donc d'avancer pour constater qu'il sagissait bel et bien d'un être connu a ses yeux.

Sowen prit donc place par terre, près du feu, cette source de réconfort et se mit doucement a apeller l'elfe.

- Eberen, dit-elle d'un voix calme

Le druide n'eut aucune réaction, ce qui eu pour effet de fâcher la prêtresse. Cette Efle avait toujours, bizarrement, dormit beaucoup trop profondément lorsqu'il était près d'un feu. le Semi-Drow se repositionna et cette fois-ci, tout en criant TRES fort, lui pinça le bout d'oreille....

- Aïe! sursauta Eberen.

Eberen se releva, et vit Sowen à ses côtés. Le sourire en coin, il se massait circulairement le lobe d'oreille.

- Il y a d'autres manières de reveillé un elfe, grommela-t-il pour lui même.

Sowen, repris son air amusé et chuchota juste asser fort pour que le druide l'entende:

- Tu aurais préféré tes coups de pieds au fesses peut-être?

Le druide, alors en train de se plaindre, dirigea ses yeux vers celle qui se jouait de lui. Puis, s'assurant que son loup dormait toujours, malgré le cris de Sowen, il se mit debout, dépliant les vêtements de peaux sur lui. Il dit ensuite, d'une voix qu'il voulait accusatrice mais qui sonnait comme d'un soulagement:

- Mais que fais-tu donc dans cette forêt à cette heure? Tu aurais pus te faire attaquer par un ours ou même des brigands! Ils sont féroces dans ces temps-ci de l'année...les ours, je veux dire...

Puis continuant maladroitement:

- Tu as beaux être une prêtresse de la nature, tu n'est pas sans danger dans une nautre si sauvage... il ne faudrait pas qu'il t'arrive malheur...le peuple entier de Perenia te pleurerais assurément...

Voyant qu'il ne faisais rien pour s'aider dans ses propos, il se tait. Sowen, après avoir entendu tout cela, fut pris d'un fou rire et se crampa en deux, laissant un elfe qui ne comprenait plus rien.

Sowen s'instala a ses côter et souri en haussant les épaules. Elle essayait de formuler une phrase dans sa tête pour expliquer la situation au Druide, mais ele ne trouvais rien pouvait exprimer les sensations qui s'emparait d'elle lorsque le jour tombait et que la lune aparaissait, tout ce u'elle trouva donc a réponde fut :

- Tu sais gui, c'est pas parce que je suis du sexe féminin que je ne peu pas me promener seul, tu risque autant de danger que moi a dormir ici ainsi... D'ailleur ne te compte tu pas chanceux que ce ne sois que moi qui t'est réveiller ainsi ?

Puis voyant qu'elle n,avait pas été de ce qu'il y a de plus sympatique encore Eberen elle se repris:

- La nuit et la forêt sont une combinaison que je ne saurais me passer. Pour des raisons obscures, elle me procure cette sensation de bien être, que nul autre chose ne pourrais me procurer... enfin de ce que j'en sais pour le moment... Alors Ebi ... tu m'explique ce que tu fait ainsi, vautrer par terre ?

La prêtresse se retourna vers trait d'argent et lentement se mis a le carasser avec une douceur infini, comme si elle le prenait pour une enfant qui dormait ...

Sowen finissait sa phrase quand le feu devant eux changea de couleur et d'état, en fait ce qui était du feu ne l'était plus mais la chaleur et la lumière étaitent toujours présentes.

Une ombre sortit des bois. Trait d'argent se releva et se figea devant elle. Il émit un grognement passager et se calma aussitôt, se rassit et mis sa queue entre les pattes comme s'il sentait que cette présence n'était pas menaçante du moins pas pour le moment.

L'ombre prît la forme d'un jeune elfe sortant des sous-bois. Eberen fut intrigué, ce visage lui rappelait quelqu'un mais qui ? Il chercha dans sa mémoire et un nom s'y imposa. Elyòn !!! Sa voix étouffée par la surprise et l'inconnu devant lui, il ne cessa de regarder Sowen, - elle de son côté se releva et prît une posture défensive autant qu'offensive - et Elyòn ou qui d'autre mais par quelle magie ?!

L'inconnu prît la parole enfin...

N'ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal, le feu est un danger pour la forêt, ceci est beaucoup mieux maintenant...

Il se tut un instant et reprît.

Je m'appelle Ayëdil d'Ayindril. Voyageur solitaire en quête de compagnons du royame de Perenia.

Vous êtes Eberen et vous Sowen, il est facile de savoir qui est qui, vous faites tellement de bruits à mille lieux d'ici. Dit-il avec un regard taquin.

Les deux amis ne savaient plus quoi penser de ce qu'ils leur arrivaient. Ils réagirent tout de même face à leur interlocuteur.

Eberen ne comprenait plus rien. Elyòn était un druide qu'il avait comme ami. Et cet elfe lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux! Bizarement, une étrange aura émanait de l'arriviste, une aura qui lui donnait confiance.

- Tu dis t'appeler Aëydil, comme l'humain à la taverne, mais tu es un elfe, et en plus, tu porte le visage d'Elyòn. Es-tu sûr de ne pas mon cher ami druide, porté disparut?

Sowen et moi, suite à cette demande, restions sans la réponse attendue, l'espace de quelques secondes.

Sowen, après la réponse d'Aëydil se renfrogna et croisa les bras, fâcher des commentaire que le voyageur venait de porter a leurs égards... parler fort parler fort ! Il était tout de même au droit de chacun et de tous de parler de la maniere qu'il voulait avec qui il voulait et ou il voulait !!! mais se faire espionner parce qu'ils parlaient trop fort était quelquK'un peu exagèré.

Voyans qu'Aëydil avait l'air d'en savoir beaucoup et qu'il semblait d,ailleur plutôt mystérieux, vu la réaction d'Eberen face a sa rencontre, Sowen le regardait de plus en plus avec méfiance ... " n'ayez pas peur " Ouais ... Et bien il faurt savoir que les demi-Drow comme elle fesait difficielemtn confiance au étranger qui venant détruire leur feu ainsi en le disant dangereux pour la forêt.

Puis lorsque Eberen lui avait demander qui il était ... la réponse avait tarder et la jeune prêtresse en avait déduit que lui même, malgré son assurance, n,avais pas réellement l'air de savoir ce qu'il était réellement.

Prenant sur elle même, elle baissa sa garde et alla s'instaler près de trait d'argent qui semblait plutôt calme qu'a l'habutide, elle se mis lentement a le gratouiller, puis s'adressant a Aëydil elle lui demanda:

- Vous êtes donc en quête de compagnon ... les voyages solitaire ne vous attire point ?

Eberen toisa celui qu'il croyait être son vieil ami. Ne sachant que faire, il tenta d'en savoir un peu plus.

- Dis moi, commenca-t-il, pourquoi es-tu donc à la recherche de compagnon? Tu es perdu?

Sowen tentait de suivre la conversation des deux êtres devant elle, mais elle avait quelques difficultés à comprendre. Et, au comble de son malheur, elle devait se l'avouer: elle ne comprenais aucunement de quelle lieu Aëydil parlait.

Il fallait savoir que Sowen n'était pas encore TRÈS âgée pour une demi-drow, encore moins pour une prêtresse. Elle avait encore, effectivement, beaucoup à apprendre.

Malheureusement, pour le moment personne n'était prêt à éclairé sa lanterne. Elle se contentait donc de s'accoter sur un arbre tout près et d'écouter la conversation.

Puisqu'Eberen avait l'air de savoir ce qu'il disait et qu'elle, pour sa part, n'avait rien à ajouter, Sowen se contrint à taire, riant mentalement d'Aëydil. *Tst tst tst... Il est clair que même s'il avait en effet été perdu, il ne l'aurait pas avoué, seulement pas orgueil!* Elle lança un regard entendu à ... personne en fait il n'y avais personne, sauf peut-être Trait d'argent, qui lui, était près a rigoler un peu...

Aëydil réagit face à la sympathie d'Eberen et à l'antipathie de Sowen.

Chacun d'eux eut un moment la vision troublée comme un voile passant devant les yeux et maintenant se tenait Elyòn au regard d'Eberen et Floralyne à celui de Sowen.

Elyòn répondit à Eberen.

En effet, Ayindril est une forêt ancienne peuplée de Dryades et d'arbres protecteurs. Il se passe d'étranges évènements durant les saisons. On dit qu'elle est enchantée et que peu en reviennent. Il se peut que les hauts druides peuvent y s'enfoncer sans craindre de leur vie mais le prix de leur intrusion est élevé.

Floralyne de sa voix mélodieuse et sylvestre parla mentalement à Sowen.

Ne soit pas sur la défensive et le mépris. Elyòn est un elfe exemplaire et je suis très disposée à devenir une amie pour toi. Ayindril t'accueillerait avec grande joie et générosité. Tu as du talent et tu pourrais trouver un arbre gardien qui serait un allié redoutable. Tu es prêtresse de la nature et ton pouvoir est honorable. En effet, je suis perdue dans ce monde que je ne connais pas. Pourrais-tu m'aider à m'y trouver une place. J'aimerai t'en dire plus sur moi... Accordons-nous du temps et apprivoisons-nous.

Le dialogue continuait laissant à chacun le choix de sa réaction.

Eberen regardait l'être qui se tenait devant lui. Il n'avais pas vraiment répondu à la question initial du "Qui êtes-vous?" Eberen prit un air d'impatience, trop de chose tournait autour du pot.

Donc, vous venez d'Ayindril? débuta Eberen, en quoi cela interfère-t-il avec notre rencontre matinale?

Sowen, quant à elle, semblait surprise et désemparer. Elle semblait écouté quelqu'un, mais dans sa tête. Elle avait un visage similaire à celui de Cerseï lorsqu'elle parlait à ses "esprits".

Soudainement, sans prévenir, Aëydil se jeta par terre en hurlant de rage. Il se tenait le ventre et la tête. Puis après cela, le sol, la terre, l'avala d'un coup.

Aëydil avait disparut.

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Ce message est pour signaler que Aëydil prend congé de Perenia quelques temps. Son compte reste ouvert au cas ou parfoit, il tenterais de poster quelque messages.
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Sowen regarda Aëydil disparaitre sans voix. Perturbée, elle n'avait aucunement assimilé les derniers événements qui venaient de se produire. Puis reprenant sur elle-même, elle sursauta et cria:

- Nom d'un Os de Gobelin !! qu'est-ce qu'il vient de se passer !

Voyant qu'elle avait l'air un peu trop surprise et qu'elle avait perdu son masque de Mme. "toujours de mauvaise humeur" elle se reprit et lança un regard interogateur à Eberen.

- Alors ! Expliques moi !!! c'est toi qui est suposé être le plus sage de nous deux ici !!

Sowen hocha la tête. Tout ceci était bien hors du commun ... que quelqu'un disparaisse dans la nature, elle pouvait le croire, mais qu'un être vivant disparaisse sous ses yeux, "bouffer" par le sol, elle avait du mal a s'y faire.

- Oui oui ... mais dépêchons-nous de ne pas rester ... je n'ai aps envi qu'un arbre, fâcher que je lui ai grimper dessus, décide de m'entrainer sous terre avec lui !!