Tout le monde était en position de combat. D'un côté, l'armée des ténèbres était horrifiante et resplandissait de terreur. Et de l'autre côté, l'armée de la lumière, solide comme du roc, fixait au loin leurs nombreux ennemis armés jusqu'aux dents.
Le partage des hommes semblaient parfaitement égal entre les deux camps. Le roi Hector, la pureté incarnée, trônait derrière ses troupes. Malchezen, souverain du mal, siègeait à l'arrière de ses soldats, pensant a une stratégie d'attaque. Nul ne bougeait, attendant que l'un ou l'autre décide de prendre les devants. L'atmosphère était incryablement pesante, ce qui rendait cette bataille extrêmement complexe. Le territoire restreint sur lequel allait se disputer ce combat infatigable réduisait les possibilités de point d'attaque des opposants.
Soudain, un des soldats de la lumière fonça au front, entraîant avec lui une panoplie d'événements. Cavaliers, tourelles, et soldats et plus encore, se débattait pour aller lacérer leurs pirs adversaires.
Après une longue symphonie de contact d'épées, le combat ultime était terminé. Un simple soldat, aussi inofensif soit-il, mais à l'âme corrompu, était droit devant Hector. Ce roi, démuni de toute force pour se protéger, puisqu'il est le cerveau de l'opération, implora son assaillant de lui épargner sa vie. Le demi-homme s'approcha de sa prochaine victime, leva son arme, et....
«Échec et math! cria Eustache, victorieux. Met ça dans ta pipe mon cher Eugène, et maintenant, paye!»
Le perdant, rageur, sortit les pièces de sa bourse les jeta sur la table de jeu et partit.